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The Way By Webber Naturals

Consommation de poisson – avantages et bienfaits nutritionnels

Le plaisir gustatif est loin d’être le seul avantage de consommer du poisson. De nombreuses variétés de poisson apportent des protéines de haute qualité, des antioxydants, de la vitamine D, des minéraux et des concentrations variables d’acides gras essentiels oméga-3 – sans parler du fait que le poisson est faible en gras saturés.[1] En revanche, les préoccupations par rapport au mercure et aux biphényles polychlorés (BPC) sont légitimes et doivent être prises en compte lorsque vous choisissez votre poisson.

Que vous ayez décidé d’Acheter du poisson pour une première fois, ou d’en consommer plus souvent, voici ce qu’il vous faut savoir :

La portion

La Fondation des maladies du cœur du Canada recommande de consommer du poisson au moins deux fois par semaine.[2] Une portion de poisson cuit pèse environ 100 g et, pourvu que vous vous en teniez aux variétés faibles en mercure comme le saumon et le hareng, Santé Canada ne fixe pas de restrictions quantitatives de consommation.[3,4]

Soyez conscient des contaminants

Plus le poisson occupe un rang élevé dans la chaîne alimentaire, plus ses concentrations en contaminants, tels que le mercure et les BPC, sont élevées. Cela signifie que certains types de poissons sont plus contaminés que d’autres.

Mercure : Réduisez votre exposition au mercure en limitant votre consommation de poissons dont la teneur en mercure est plus élevée. Ceux-ci comprennent :[4,5]

  • Le thon, frais ou surgelé

  • Le requin

  • L’espadon

  • Le marlin

  • L’hoplostète orange

  • L’escolar

  • Le doré de mer

Vous pouvez consommer ces poissons à l’occasion, mais les experts recommandent de se limiter aux quantités suivantes :[4]

  • Adultes : 150 g par semaine

  • Femmes enceintes ou qui allaitent : 150 g par mois

  • Enfants de 5 à 11 ans : 125 g par mois

  • Enfants de 1 à 4 ans : 75 g par mois

Biphényles polychlorés : Les BPC sont d’autres contaminants présents en faibles concentrations dans certaines grandes espèces de poissons à forte teneur en gras, le saumon d’élevage en particulier. Le moyen le plus sûr de limiter votre apport en ce carcinogène potentiel consiste à choisir du poisson sauvage pêché dans un souci de durabilité plutôt que du poisson d’élevage.[6]

Choix santé

En raison de ce qu’eux-mêmes mangent, certains poissons et certains fruits de mer contiennent des taux plus élevés d’acides gras oméga-3. Pour obtenir les plus grands bienfaits en termes de santé et d’innocuité, choisissez des variétés reconnues pour leur concentration élevée en oméga-3 et leur plus faible teneur en mercure et en BPC. Voici quelques délicieuses options :[4,5]

  • L’anchois

  • Le maquereau de l’Atlantique

  • Le capelan

  • L’omble

  • Le merlu

  • Le hareng

  • Le grand corégone

  • Le mulet

  • La goberge

  • La truite arc-en-ciel

  • Le saumon

  • L’éperlan

  • Le thon (listao)

  • Le crabe bleu

  • La crevette

  • La palourd

  • La moule

  • L’huître

La commodité de l’huile de poisson

Pour tous ceux qui n’aiment pas le goût du poisson et des fruits de mer ou qui ont du mal à les intégrer dans leur alimentation plusieurs fois par semaine, une solution de rechange pratique consiste à prendre un supplément d’huile de poisson concentrée.

Quelques préparations d’huiles oméga-3

Webber Naturals garantit l’innocuité et la pureté de ses huiles qui renferment des acides gras oméga-3 AEP et ADH provenant de sources marines de qualité et favorisent la santé cardiovasculaire et cognitive.[7,8

Huile de poissons et de saumon sauvage d’Alaska est une source d’huiles de poissons et de saumon de l’Alaska 100 % sauvages de qualité pharmaceutique. Cette huile de haute qualité, ultra purifiée par distillation moléculaire, est offerte en gélules entérosolubles transparentes qui permettent une libération optimale et éliminent l’arrière-goût de poisson.

Huile de saumon sauvage d’Alaska est une préparation entièrement issue de saumon sauvage pêché dans les eaux pures de l’Alaska. Elle est offerte en gélules entérosolubles transparentes et renferme des concentrations naturellement présentes d’AEP, d’ADH, d’astaxanthine et de vitamine D.

RoyalRedMD Oméga-3 Huile de krill est riche en AEP et en ADH liés à des phospholipides, donc rapidement absorbés et incorporés dans les membranes cellulaires. Elle est issue de krill de l’Antarctique obtenu au moyen de pratiques durables, et contient de l’astaxanthine naturellement présente.9 Ses petites gélules sont faciles à avaler.

Certifié IVO

Lorsque vous choisissez un supplément d’huile de poisson, cherchez l’étiquette IVOMC (Vérification internationale de la qualité des oméga-3). IVO est un programme de certification des huiles d’origine marine qui respecte les plus hautes normes mondiales en matière de vérification de la pureté et de la concentration.

Les huiles sont soumises à une série complète de contrôles de qualité destinés à vérifier l’absence de jusqu’à 400 contaminants. Quand une huile d’origine marine obtient la certification IVO, qui est donnée par un tiers, vous pouvez être sûr que cette huile respecte toutes les normes d’innocuité et de puissance internationales en vigueur et qu’elle est à base d’ingrédients issus de pratiques durables. C’est la raison pour laquelle tous les suppléments d’acides gras oméga-3 d’origine marine Webber Naturals sont certifiés IVO.

Une place importante dans l’alimentation

Les risques et les avantages pour la santé liés à la consommation de poisson dépendent de la sorte de poisson que vous mangez, de sa provenance et de la quantité ingérée. Une fois bien informé, vous serez en mesure d’accorder au poisson une place importante dans vos repas et d’en apprécier tous les bénéfices.

Patience Lister

Patience Lister

Patience Lister est une rédactrice pigiste de Vancouver, C.-B., spécialisée dans les aliments et produits de santé naturels. Elle écrit et réalise des travaux de recherche dans ces domaines depuis 2005, se concentrant particulièrement sur la nutrition

1.Domingo JL, Bocio A, Falcó G, et al. Benefits and risks of fish consumption Part I. A quantitative analysis of the intake of omega-3 fatty acids and chemical contaminants. Toxicology. 2007; 230(2-3):219-26. 2. Heart and Stroke Foundation of Canada. Eating for a healthy heart [Internet]. 2017 [cited 10 December 2020]. Available from: https://www.heartandstroke.ca/-/media/pdf-files/what-we-do/publications/living-well-with-heart-disease/chapter-3.ashx?rev=bae93023086643e8873730f4bd29b946 3. Government of Canada. Nutrition Labelling – Table of reference amounts for food [Internet]. www.canada.ca 2016 [cited 10 December 2020]. Available from: https://www.canada.ca/en/health-canada/services/technical-documents-labelling-requirements/table-reference-amounts-food/nutrition-labelling.html#i 4. Health Canada. Mercury in fish [Internet]. www.canada.ca 2019 [cited 10 December 2020]. Available from: http://www.hc-sc.gc.ca/fn-an/securit/chem-chim/environ/mercur/cons-adv-etud-eng.php 5. U.S. Food & Drug Administration. Advice about eating fish [Internet]. www.fda.gov 2019 [cited 10 December 2020]. Available from: https://www.fda.gov/food/consumers/advice-about-eating-fish 6. Hites RA, Foran JA, Carpenter DO, et al. Global assessment of organic contaminants in farmed salmon. Science. 2004; 303:226-9. 7. Lee JH1, O’Keefe JH, Lavie CJ, et al. Omega-3 fatty acids: cardiovascular benefits, sources and sustainability. Nat Rev Cardiol. 2009; 6(12):753-8. 8. Richardson AJ, Burton JR, Sewell RP, et al. Docosahexaenoic acid for reading, cognition and behavior in children aged 7-9 years: a randomized, controlled trial (the DOLAB Study). PLoS One. 2012; 7(9):e43909. 9. Yoshina H, Yanai H, Ito K, et al. Administration of natural astaxanthin increases serum HDL-cholesterol and adiponectin in subjects with mild hyperlipidemia. Atherosclerosis. 2010; 209(2):520-3.

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